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Mycoplasmes : cette IST encore trop peu connue

Une bactérie discrète mais fréquente Les mycoplasmes, en particulier Mycoplasma genitalium, sont des bactéries responsables d’une infection sexuellement transmissible encore trop peu connue. En 2025, elles représentent pourtant une part importante des IST diagnostiquées dans le monde. Selon les données récentes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Mycoplasma genitalium concerne environ 1 à 2 % des personnes sexuellement actives, et jusqu’à 10 % dans certaines populations à risque. Ce qui rend ces bactéries particulièrement délicates, c’est qu’elles peuvent rester silencieuses pendant longtemps. Beaucoup ignorent qu’ils sont porteurs, ce qui favorise la transmission sans le savoir.

Une bactérie discrète mais fréquente

Les mycoplasmes, en particulier Mycoplasma genitalium, sont des bactéries responsables d’une infection sexuellement transmissible encore trop peu connue.

En 2025, elles représentent pourtant une part importante des IST diagnostiquées dans le monde. Selon les données récentes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Mycoplasma genitalium concerne environ 1 à 2 % des personnes sexuellement actives, et jusqu’à 10 % dans certaines populations à risque.

Ce qui rend ces bactéries particulièrement délicates, c’est qu’elles peuvent rester silencieuses pendant longtemps. Beaucoup ignorent qu’ils en sont porteurs, ce qui favorise la transmission sans le savoir.

Comment attrape-t-on les mycoplasmes ?

Ces bactéries se transmettent principalement par contact sexuel non protégé (vaginaux, anaux ou oraux). Elles peuvent aussi se retrouver dans le cas du partage d’objets intimes comme les sextoys, si ceux-ci ne sont pas nettoyés correctement. D’où l’importance de la protection et de l’hygiène.

Quels symptômes surveiller ?

La majorité des personnes infectées ne présentent pas de symptômes visibles. Mais quand ils apparaissent, on peut noter :

  • chez les femmes : des pertes vaginales inhabituelles, des brûlures en urinant, des douleurs pelviennes, ou des saignements entre les règles ;
  • chez les hommes : des sensations de brûlure ou irritation en urinant, un écoulement du pénis, ou parfois des douleurs testiculaires.

Ces symptômes sont souvent confondus avec d’autres infections, ce qui complique leur détection sans test spécifique.

Se faire dépister : un geste simple en 2025

Le bon point, c’est que le dépistage est devenu plus accessible et rapide. Un prélèvement local ou un test d’urine suffit pour détecter la présence de mycoplasmes. Ces tests sont disponibles dans la plupart des centres de santé sexuelle, chez les médecins généralistes, et dans les laboratoires, souvent avec un résultat en quelques jours.

L’Institut national de la santé publique recommande un dépistage régulier pour les personnes ayant plusieurs partenaires ou après un rapport non protégé, même en l’absence de symptômes.

Traitement efficace, mais vigilance nécessaire

La bonne nouvelle, c’est que les mycoplasmes se traitent très bien avec des antibiotiques adaptés. Cependant, depuis 2023, la résistance de certaines souches aux antibiotiques classiques a augmenté, ce qui demande un suivi médical attentif. Le traitement doit donc être prescrit par un professionnel, souvent après un test de sensibilité. Il est essentiel que tous les partenaires soient traités simultanément pour éviter la réinfection.

Prévention : les clés pour se protéger

En 2025, la prévention reste simple et efficace : utiliser un préservatif à chaque rapport, qu’il soit vaginal, anal ou oral, demeure la meilleure barrière. Éviter de partager les objets intimes sans les nettoyer correctement est également primordial. Mais surtout, la clé réside dans la communication ouverte avec ses partenaires : parler de dépistage, de protection, et de santé sexuelle, c’est un vrai acte de respect.


En résumé

Les mycoplasmes sont une IST encore méconnue du grand public, mais que la médecine de 2025 sait bien dépister et traiter. Ils peuvent passer inaperçus, alors un dépistage régulier, surtout en cas de rapports non protégés, est une précaution importante. La prise en charge est efficace, même face à la montée des résistances, à condition de suivre un traitement adapté et d’inclure tous les partenaires.

Prendre soin de sa santé sexuelle, c’est prendre soin de soi et des autres. Alors, si tu as un doute, ou simplement envie d’un check-up, n’hésite pas à consulter. Ce petit geste peut faire toute la différence.

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