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Coove : un latex clean de l’arbre jusqu’à ton lit

Quand on parle de capote, on pense « protection », « sécurité », voire « sexualité ». Mais qui pense à l’arbre qui l’a vu naître ? Ce petit bout de latex pousse à l’autre bout du monde : quelque part dans une forêt tropicale, un hévéa saigne sa sève. Asie, Afrique, Amérique du Sud… c’est souvent là que commence l’histoire de ton préservatif. Bien loin de ta couette, mais pas de ton corps. L’hévéa : l’arbre à latex Avant de protéger ta santé sexuelle, le latex protège l’hévéa. Cet arbre, originaire d’Amazonie, est aujourd’hui planté à la chaîne en Asie du Sud-Est (Thaïlande, Indonésie, Malaisie), en Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire, Ghana) et en Amérique latine (Brésil, Guatemala). Sauf que quand la demande explose, les dérives suivent : la plupart des préservatifs vendus aujourd’hui sont fabriqués à partir de latex issu de la monoculture intensive de l’hévéa qui contribue à la déforestation et est associée à des problématiques sociales documentées, comme des conditions de travail précaires, voire le travail des enfants dans certains pays producteurs.
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Quand on parle de capote, on pense « protection » et « sexualité ». Mais qui pense à l’arbre qui l’a vu naître ? Ce petit bout de latex vient de l’autre bout du monde : quelque part dans une forêt tropicale, un hévéa saigne sa sève. Asie, Afrique, Amérique du Sud… c’est souvent là que commence l’histoire de ton préservatif. Bien loin de ta couette, mais pas de ton corps.

L’hévéa : l’arbre à latex

Avant de protéger ta santé sexuelle, le latex protège l’hévéa. Cet arbre, originaire d’Amazonie, est aujourd’hui planté en Asie du Sud-Est (Thaïlande, Indonésie, Malaisie), en Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire, Ghana) et en Amérique latine (Brésil, Guatemala).

Sauf que quand la demande explose, les dérives suivent : la plupart des préservatifs vendus aujourd’hui sont fabriqués à partir de latex issu de la monoculture intensive de l’hévéa qui contribue à la déforestation et est associée à des problématiques sociales documentées, comme des conditions de travail précaires, voire le travail des enfants dans certains pays producteurs.

La seule mention « latex naturel » est fréquente mais ne suffit pas : entre le marketing et la réalité, il y a parfois tout un continent.

C’est pour ça que chez Coove, nous ne nous contentons pas de dire « sans substances controversées


Du latex, oui, mais responsable

Chez Coove, on a décidé que protéger ne devait jamais rimer avec exploiter. C’est pourquoi notre latex est certifié Regenerative Rubber Initiative : un label exigeant qui garantit une culture respectueuse à la fois des écosystèmes et des humains.

Aucune déforestation, aucun appauvrissement des sols, et aucun travail exploité.

Concrètement, ça veut dire quoi ?

Nos plantations fonctionnent d’abord en agroforesterie, un modèle agricole qui régénère les sols au lieu de les appauvrir. L’usage de pesticides et d’intrants chimiques est ensuite limité afin de réduire l’impact environnemental. Par ailleurs, la biodiversité est soigneusement préservée, essentielle à la santé des écosystèmes. Enfin, le respect des droits humains est garanti : salaires plus justes, conditions de travail décentes, et véritable soutien aux petits producteurs. »

Parce qu’un préservatif est là pour protéger tous les corps — pas pour abîmer la planète, ni celles et ceux qui la cultivent.


Préservatifs éthiques, vegan et responsables : l’engagement de Coove

Chez Coove, nous garantissons une matière première propre et éthique grâce à un latex naturel, vegan et issu du commerce équitable. Nos préservatifs, certifiés CE, excluent toute substance chimique controversée pour assurer une sécurité optimale et une transparence totale. Nous avons repensé les emballages afin qu’ils soient recyclables, légers, sans suremballage superflu, et dépourvus de marketing trompeur.

En résumé, chaque détail vise à diminuer l’empreinte écologique tout en préservant la sécurité, le confort et le plaisir. Au final, un bon préservatif protège véritablement toutes et tous.


Ceux classiques : un coût caché pour la planète

Chaque année, le monde utilise plus de 10 milliards de préservatifs. La plupart des fabricants produisent ces préservatifs dans l’opacité, en employant du latex non certifié, des additifs issus de la pétrochimie, des lubrifiants polluants, et des emballages difficiles à recycler. Après usage, les utilisateurs incinèrent ou enfouissent ces produits, ce qui alourdit notre empreinte environnementale.

Cependant, ce qui protège contre les IST ne doit pas abîmer la planète. C’est pourquoi Coove a choisi de tout repenser.


Conclusion : repenser l’intime, depuis la racine

Tout commence avec un arbre. Et parfois, ça finit en désastre.
Travail sous-payé, forêts rasées, additifs cracra.
Le préservatif, ce petit objet intime, peut être un produit juste, ou un concentré d’injustices.

Chez Coove, on a tranché.
On protège plus que ton plaisir : on protège celles et ceux qui produisent, les sols qu’ils cultivent, et la planète qu’on a en commun.

Coove my world.

Chaque semaine, Coove publie sur Instagram des contenus clairs, accessibles et décomplexés.
👉 Retrouvez-nous ici : @coove_fr

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