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Éjaculer n’est pas jouir (et inversement)

Tu pensais que l’un n’allait pas sans l’autre ? Erreur classique. Éjaculation et orgasme sont deux mécanismes différents, qui peuvent fonctionner ensemble, mais pas toujours. L’un est une décharge physique, l’autre un sommet sensoriel. Et parfois, ils prennent des chemins séparés.

Chez l’homme, l’éjaculation est un réflexe mécanique : le sperme est propulsé par les contractions de l’urètre. L’orgasme, lui, c’est le feu d’artifice dans le cerveau : endorphines, contractions musculaires, frissons partout. Et surprise : on peut très bien avoir l’un sans l’autre. De nombreux urologues l’affirment, et les témoignages le confirment.

Le dirty talk : mode d’emploi

Dirty talk pour timides : pourquoi vous y mettre (et vite)

Le dirty talk, cet art de parler sale, séduit 62 % des adultes et améliore la satisfaction sexuelle et relationnelle. Si vous pensez que ce n’est réservé qu’à des dévergondés, détrompez-vous : c’est un catalyseur d’envie, de complicité et d’émotion.

Dirty talk : comment ça rend le sexe meilleur

90 % des gens affirment que le bon dirty talk excite

Selon une enquête (Superdrug Online Doctor, 990 participants), 90 % des sondés se disent excités par un dirty talk adapté, mais… 20 % ont déjà arrêté un rapp

Sexe pendant les règles : pourquoi on évite et pourquoi on devrait essayer

Sexe pendant les règles : tabou vieillot ou plaisir méconnu ?

On l’avoue : l’idée de faire l’amour dans des jours « rouges » met souvent mal à l’aise. Pourtant, plus de 40 % des femmes affirment avoir eu des rapports pendant leurs règles (selon YouGov 2023). Et près de 60 % d’entre elles trouvent ces moments agréables. Alors ? Pourquoi se priver, vraiment ?

Les tabous et peurs autour du sexe pendant les règles

Crainte du sang, saleté, toxicité ?

Peut-on prendre du plaisir sans orgasme ?

Sexe sans orgasme : et si c’était pas si fou que ça ?

Tu as déjà atteint le sommet ? Super. Mais sache-le : ce n’est pas le seul moyen d’obtenir du plaisir. En fait, des études récentes montrent qu’avoir un orgasme n’est pas un prérequis pour qu’un rapport sexuel soit satisfaisant.

Une étude de l’Université de Manchester publiée en juin 2025 révèle que les femmes dont l’orgasme est très fréquent ne déclarent pas nécessairement plus de satisfaction sexuelle que celles qui l’ont moins souvent.

Sans éducation à la vie affective, le porno fait la loi

Qui éduque vraiment les enfants à la vie affective ?

Ce n’est plus une hypothèse, c’est une réalité : le porno est devenu le principal référentiel sexuel des adolescents. Selon l’Arcom (ex-CSA), 1,6 million de mineurs en France consultent chaque mois des sites pornographiques. La première exposition a lieu entre 11 et 13 ans en moyenne, parfois bien avant.

Ce n’est pas anodin. Car dans l’immense majorité de ces vidéos, on ne parle ni de respect, ni de consentement, ni de désir partagé. On parle de domination, d’humiliation, de violence normalisée. Et c’est cela qui devient la norme, quand l’école se tait et que les parents désertent le terrain.

Faire l’amour dans l’eau : fantasme estival ou fausse bonne idée ?

En été, l’eau chauffe… et les corps aussi

C’est un sujet brûlant. Littéralement.

Quand viennent les grandes chaleurs, les peaux moites et les regards salés, le fantasme de faire l’amour dans l’eau refait surface. À la plage, dans une piscine, sous une cascade ou dans une baignoire… l’eau excite l’imaginaire collectif autant que les glandes sudoripares.

Et si tu as plus de 30 ans, tu n’as pas oublié Loana et Jean-Édouard dans la piscine du Loft, cette scène culte de 2001 qui a fait fantasmer (ou grimacer) toute une génération. Les plus jeunes, eux, penseront plutôt à une scène de film ou de série TikTokisée. Mais l’idée reste la même : l’eau trouble excite l’envie.

Y a-t-il une heure idéale pour faire l’amour ?

L’heure magique pour faire l’amour : mythe ou science ?

Entre romance et chronobiologie : selon une enquête auprès de 1 000 couples (Forza Industries, 2025), 66 % déclarent que le meilleur moment se situe entre 7 h et 10 h30, avec un pic autour de 7 h30 du matin.

Oui, c’est tôt. Mais il ne s’agit pas seulement d’un coup de cœur matinal : notre corps, lui, agit déjà.

Chronobiologie du désir matinal

Le réveil hormonal

Notre organisme suit un rythme circadien bien huilé. Après le réveil, le cortisol augmente de 30 à 75 % en 30 à 45 minutes, boostant énergie et vigilance.
Chez les hommes, le pic de testostérone survient entre 7 h et 10 h, jusqu’à 30–35 % plus

Éloge de la masturbation : solo, à deux, et au-delà

La masturbation : une pratique millénaire

Dès la Préhistoire, la masturbation est représentée dans des peintures rupestres. Chez les Sumériens et les Égyptiens, c’est même un geste sacré : le dieu Atum crée l’univers en s’auto-stimulant.

Mais au XVIIIᵉ siècle, tout dérape. En 1712, un pamphlet anonyme intitulé « Onania » surgit à Londres, en plein cœur de l’Angleterre puritaine. Il dénonce la masturbation comme un “péché auto-polluant” et l’accuse de tous les maux : fatigue, acné, perte de mémoire, folie, mort prématurée. Rien que ça.

Ce n’est pas encore l’ère victorienne, mais on s’en approche dangereusement. Et comme toujours, ce qui commence comme une rumeur moralisatrice devient bientôt une vérité “médicale”.

C’est là que le docteur Tissot entre en scène. Médecin suisse très influent, il publie en 1760 un traité sobrement intitulé L’Onanisme. Il y “démontre” (sans la moindre preuve scientifique) que se masturber rend faible, nerveux, déprimé, et bon à enfermer. Son ouvrage est traduit dans toute l’Europe, étudié dans les écoles de médecine, cité dans les séminaires. Résultat : la culpabilité se médicalise, la morale se fait passer pour de la science, et la masturbation devient officiellement un danger public.

Et comme l’Europe colonise la moitié du monde, le message suit avec les missionnaires et les valises : se masturber, c’est pécher, dégénérer, trahir son âme, et sa santé.

Ce basculement marque le début du tabou que Freud déconstruira bien plus tard.

Sperme dans l’oeil que faire ?

Sperme dans l’œil : est-ce dangereux ?

Si ton Coover boy te fait une faciale ou que tu as pointé son canon vers sa figure, il y a toujours un risque que ses semences atterrissent dans ton œil ou le sien.
Et oui, ce petit « accident » n’est pas si rare que ça ! Ça peut piquer, mais rassure-toi, ça ne cause pas de gros dégâts !

Pourquoi le sperme brûle-t-il les yeux ?

Le sperme contient un pH alcalin (comme l’eau de mer) qui n’est pas vraiment ami avec le pH acide ou neutre de l’œil. Cela peut provoquer des rougeurs, des picotements et des larmes. Donc si tu as l’impression d’avoir pris une dose de jalapeño dans l’œil… C’est normal !

Selon un article publié dans Clinical and Experimental Ophthalmology, l’exposition accidentelle de l’œil à du sperme peut provoquer une conjonctivite chimique temporaire, avec inflammation de la conjonctive et sensation de brûlure modérée à sévère.

Kunyaza : l’art rwandais de l’orgasme

Kunyaza : histoire et origine de l’art de l’orgasme rwandais

Selon une légende, le lac Kivu situé au Rwanda* et à l’Est de la RDC, serait né de l’éjaculation d’une reine rwandaise… donnant le nom à une pratique sexuelle : le kunyaza.

Il y a longtemps, une reine, lasse de l’absence de son mari parti en guerre, ordonna à un serviteur de satisfaire ses désirs.
Terrifié et craignant des représailles du monarque, il s’exécuta. Tremblant de peur, il approcha son pénis du clitoris de la reine.
Ses frissons, nés de l’appréhension, éveillèrent chez elle un plaisir nouveau, si intense et puissant qu’un jaillissement soudain surgit, créant ainsi les ruisseaux qui formèrent, dit-on, le lac Kivu.

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